Amours mécaniques

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il y a 4 ans

Amours mécaniques

Sue hoqueta, la glotte fouettée par la v i o l ence de l’éjaculation. La queue enfoncée jusqu’à la garde dans la bouche de la petite Vietnamienne, Monsieur Georges tirait d’interminables bouffées sur son Davidoff. L’ancien photographe de presse fumait rarement. Depuis sa sortie de l’hôpital, c’était même la première fois. La tête renversée, bien calée dans son profond fauteuil anglais, il savourait avec un bonheur sans mélange autant la fumée du cigare que le traitement que lui prodiguait la domestique. Deux orgasmes en moins d’une demi-heure, pas franchement raisonnable… Mais quand elle le voulait, Sue savait se montrer diabolique.

Monsieur Georges se reprocha néanmoins son abandon. À son âge, il fallait savoir s’économiser. De sa main restée libre, le sexagénaire s’empara d’un téton de la bonniche. “ Pour te punir de ton zèle ” lâcha-t-il en pinçant la pointe fragile. La jeune femme avait un corps de garçons, des seins minuscules, mais des bouts hypertrophiés. Très longs. Très sombres aussi. Presque noirs, comme la chevelure aile de corbeau dont elle était si fière.

Sue frissonna. Elle aimait la manière rude dont son maître la traitait. Sans relâcher son attention pour le phallus qui reprenait une étonnante consistance dans la cavité qu’il emplissait, elle se mit à caresser de la pointe de l’ongle les testicules de Monsieur Georges. Malgré deux orgasmes, la bite avait retrouvé toute sa dureté. Le sexe du vieux monsieur n’avait pourtant rien d’exceptionnel. Vaniteux, le retraité regrettait qu’il ne fût pas plus gros, le gland surtout qu’il aurait voulu aussi mafflu que celui de son dogue allemand. Mais personne n’est parfait… Et, belle consolation, la relative modestie de sa queue lui avait généralement permis d’assouvir ses penchants de sodomite avec la plupart de ses maîtresses, même avec celles qui assuraient pourtant refuser ce privilège à leur mari. Patient et habile, il avait d’ailleurs gagné à sa “ cause ” nombre de femmes qui, avec le plaisir anal, avaient découvert l’épanouissement, quand ce n’était pas tout simplement leur véritable… voie.

Sue était de celles-là. Il faut dire que la petite Asiatique, tout juste sortie de l’a d o l e s c e n c e , avait le vice dans la peau. Elle adorait le cul. Aucune expérience nouvelle ne la rebutait. Sur ce terreau particulièrement fertile, le photographe n’avait éprouvé aucune difficulté à faire pousser les fruits vénéneux d’une sexualité tyrannique qu’il comparait volontiers à la sienne. Du reste, en bien des points, Sue lui ressemblait. Elle était autant sa complice que son esclave. Belle comme un cœur, la jeune femme n’avait pas son pareil pour ramener à la maison toutes sortes de proies. Il suffisait qu’elle dissimule ses yeux fiévreux de névropathe derrière des lunettes noires pour obtenir, dans les rangs féminins surtout, des succès que son compère savait parfaitement exploiter. Hier encore…

“ En position ! ” commanda Monsieur Georges. Sue abandonna la bite à regret pour se mettre à quatre pattes sur le tapis, le derrière tourné vers son seigneur et maître. Hormis de minuscules socquettes blanches qui faisaient un étonnant contraste avec sa peau couleur miel, la domestique était nue comme un ver. Elle cambra le dos pour mieux s’offrir. Tandis qu’elle écartait les cuisses en balançant lascivement d’avant en arrière son adorable cul d’a d o l e s c e n t , le sexagénaire échafaudait un nouveau plan pour amener Sue un peu plus loin dans l’abandon.

“ Pousse ! Pousse encore. À fond ! »

Prosternée, la petite Vietnamienne posa la joue contre le sol, ferma les yeux pour se concentrer. Et elle poussa, poussa avec un soupir d’aise. Alors, son anus s’arrondit pour s’épanouir comme une fleur en bouton qui s’ouvre sous la caresse du soleil. Quotidiennement sollicité, son trou du cul était capable d’authentiques prouesses qui contrastaient avec l’apparente fragilité de la jeune femme.

Monsieur Georges s’était levé, un plug en plastique à la main. Impressionnant, l’engin mesurait près de dix centimètres à son diamètre le plus important. Il lui avait coûté une petite fortune. Le photographe se l’était procuré chez le même spécialiste qui lui fournissait anneaux et chaînes dont étaient parées certaines de ses maîtresses.

Sous des allures conventionnelles, ce plug était un authentique bijou technologique. Télécommandé grâce à un boîtier électronique, l’appareil présentait la particularité de fonctionner comme une source de chaleur modulable à volonté, jusqu’à la brûlure. Une minuscule pompe lui permettait également de gonfler comme la grenouille de la fable jusqu’à ressembler non pas à un bœuf, mais à une balle de tennis. Mais il était surtout capable d’émettre de formidables vibrations. « Dix fois plus puissantes que le plus puissant des vibromasseurs ” lui avait assuré, la main sur le cœur, son génial concepteur. Il était temps de vérifier...

A la verticale de Sue, monsieur Georges lâcha un long filet de salive. “ Pour t’humidifier le cul. Parce que je suis bon. Et parce que celui-là, ma petite, tu vas le sentir passer. ” Le crachat tomba au bas de reins, droit sur la cible. Suivant la dépression, peu marquée, qui séparait les deux fesses de la jeune Asiatique, il pénétra ensuite le conduit anal que Sue s’évertuait en poussant à maintenir grand ouvert. Un frisson parcourut tout le corps de la Vietnamienne. Monsieur Georges assura sa prise à la base de l’engin; puis sans la moindre prévention, il enfonça comme un coin le monstre de plastique dans le cul de sa victime. Celle-ci ne put retenir un cri de douleur quand, à son diamètre le plus large, le volumineux objet f o r ç a le sphincter pourtant entraîné par de multiples sollicitations.

“ Bien, très bien ” dit simplement monsieur Georges en flattant la nuque de Sue comme il l’aurait fait de son chien Rex. “ Tu sais qu’on ne voit rien. Enfin, pas grand-chose ! ”

De l’autre main, le sexagénaire tenait l’objet par son extrémité, la seule qui maintenant dépassait du cul de la jeune femme. Il le secoua à plusieurs reprises. Poussa, puis tira sur sa base étranglée, entraînant et déformant la couronne anale. Sue lâchait des râles sourds en agitant involontairement son fessier de gamine. “ N’aie pas peur ma chérie, il ne risque pas de s’échapper ” lança ironiquement le retraité. “ Toi non plus, d’ailleurs ” ajouta-t-il, avant de fixer une barre de contrainte aux chevilles de Sue et d’y attacher ses poignets par des bracelets de cuir.

Après s’être relevé, monsieur Georges retrouva le confort de son fauteuil anglais au cuir patiné. Durant toute l’opération, il n’avait pas débandé. Sa bite dépassait de la braguette. Il ne fit rien pour la ranger. Au contraire, dans le dos de sa partenaire toujours prosternée, l’homme se mit l’aise, se débarrassant à la fois de son pantalon et de son caleçon qu’il expédia du pied à l’autre extrémité de la pièce. Il avait conservé son veston Prince de Galles à la coupe impeccable, son gilet lie de vin, sa chemise bleu ciel et sa cravate en soie mauve. Vu d’en haut, monsieur Georges n’avait rien perdu de son élégance de dandy raffiné ; vu d’en bas, il ressemblait à un babouin en rut avec ses jambes trop maigres, trop blanches aussi ; vu en pied, le photographe était tout simplement ridicule, la queue à l’air, l’érection douloureuse. Dans ces moments-là, il se sentait gagné par une coupable fébrilité contre laquelle il ne pouvait rien, qui le faisait proprement se détester.

D’une geste rageur, le retraité actionna la télécommande du redoutable vibromasseur, en même temps qu’il cherchait à retrouver un brin de self-contrôle Pour pouvoir traiter Sue comme elle le méritait, sans vraiment l’estropier, il devait très vite se calmer. Le retraité ferma les yeux comme pour oublier un instant la délicieuse petite salope livrée à sa lubricité Il choisit le programme “ température et volume ” dont il ne savait pas grand-chose, sinon qu’il pouvait s’avérer extrêmement dangereux pour celle _ ou celui ¬_ qui en subissait l’application. D’abord, il ne se passa rien. Puis, Sue émit un couinement en ondulant de la croupe. Lentement, le plug devait gonfler, prendre corps dans celui de la petite Vietnamienne. Il diffusait sans doute aussi sa chaleur pour l’instant bienfaisante dans le fondement de la jeune femme. “

Mmmmm ! C’est gros, c’est chaud ! C’est bon ! ” Releva-t-elle comme pour elle-même. Sur la télécommande, le témoin électronique indiquait que l’appareil avait atteint la moitié de son volume potentiel et la température de 42 degrés centigrades. Il devait occuper l’essentiel de la capsule anale, en épouser étroitement les contours, sans plus, pour l’instant du moins.

Le vendeur avait prétendu que l’on pouvait combiner les différents effets. Généreux, le sexagénaire ajouta d’une pression du doigt celui des vibrations.

“ Aaaaaaaaahhh ! ” L’étudiante réagit immédiatement. Monsieur Georges n’entendait pratiquement rien, mais il imaginait....

A moins de deux mètres du cul tendu de sa cuisinière secoué d’incessants soubresauts, le photographe cherchait à percer les effets dévastateurs du diabolique engin sur sa victime consentante. Tout ce qu’il voyait, c’étaient les contractions spasmodiques du sphincter sur la base du plug. Sue ne put retenir un nouveau gémissement de bonheur. “ Oooooooohhh ! Comme vous me faites du bien maître ! Comme je vous aime ! ”

Monsieur Georges en avait assez entendu. Il n’était pas question d’offrir un orgasme à cette petite garce. Pas tout de suite du moins. D’un geste agacé, il éteignit le vibromasseur, tout en poussant davantage les deux autres fonctions. La jeune femme mouillait abondamment. Ses nymphes brillantes avaient pris une coloration rouge vif. Un long filet de cyprine coulait de sa moule, traduisant l’intense émotion dans laquelle cette séance la mettait.

Le vieux monsieur jeta un bref coup d’œil sur sa télécommande. Après l’arrêt des vibrations, il stoppa la progression de la température, laissant cependant l’appareil prendre son volume maximum. Souple comme une liane, rompue à toutes sortes de pénétrations, jusqu’aux plus insolites, Sue n’avait rien à craindre. Elle cria pourtant. Son maître n’y vit qu’une simple frustration. Il se leva, quitta la pièce en emportant la télécommande avec lui. “ Tu dormiras ici, comme ça. ”

Fermant la porte derrière lui, monsieur Georges regagna sa chambre à coucher, son immense lit à baldaquin aux draps de satin rose.

Avant d’éteindre la lampe de chevet, il appuya sur la touche “ auto ” de la télécommande. Histoire de s’assurer des capacités de l’engin à distance. Moins d’une minute plus tard, il était fixé. A l’autre bout de l’appartement, la petite Asiatique venait de pousser un hurlement déchirant, presque inhumain, qui traduisait tout le bouleversement de ses sens.

Bablao

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